Toujours aussi intéressant, le numéro 36 de Turinpolar nous propose, entre autres, un excellent article sur les expéditions britanniques au Groenland de 1952 à 1992 ainsi qu’un article sur la station militaire "ALERT".

Dans le numéro de mars 2019 de Terres Polaires, nous retiendrons l’article paru dans LE MONDE ILLUSTRÉ du 9 décembre 1893 sur la prise de possession des îles Saint-Paul, Amsterdam et Kerguelen.

Une immersion dans la Venise du XV^e siècle, une expédition maritime vers les Flandres. Avec ses soixante-huit hommes d’équipage et sa cargaison de vin et d’épices, la " Gemma Quirina ", détournée de sa route par des vents contraires et endommagée par de graves avaries, finit par dériver dans un océan déchaîné, en plein hiver. Seuls onze marins réchappent au naufrage du navire et débarquent sur l’île paradisiaque de Rost, au-delà du cercle polaire arctique.

Ces Journées Scientifiques sont organisées par le CNFRA (Comité National Français des Recherches Arctiques et Antarctiques) et la Maison des Océans - Institut océanographique, Fondation Albert I^er, Prince de Monaco, en concertation avec l’Institut Polaire Français Paul Emile Victor (IPEV).

Le programme et les modalités pour assister gratuitement à ce séminaire sont décrites dans la suite de cet article.

On peut penser son village, son pays, son continent dans les limites de leurs horizons respectifs. Qui veut penser la planète doit aussi se tourner vers les pôles. Les pôles définissent l’axe de rotation de notre planète. Nous découvrons aujourd’hui qu’en prêtant attention à ces zones extrêmes et remarquables, au-delà de la curiosité et de l’émerveillement ébahi qu’elles nous inspirent, nous nous exposons à des questionnements inédits et mesurons l’étendue de nos responsabilités.

Grand arpenteur des paysages polaires, le romancier François Garde, qui fut administrateur supérieur des Terres australes et antarctiques françaises (2000-2005), tire de sa connaissance intime des extrémités boréales et australes, et de son plaisir à la faire partager, une juste vision de ce que ces espaces sont aussi devenus pour nous : une source d’inquiétude, une raison d’agir et le marqueur de notre destinée.