adm_polaire
Articles de cet auteur
par
Passage en Alaska
"La mer me fait peur", avoue Jonathan Raban, navigateur hors pair, et c’est ce mélange d’angoisse et de fascination qui fait le prix de ce livre. A peine installé à Seattle, il décide de rejoindre à la voile Juneau, en Alaska : mille six cents kilomètres d’un entrelacs d’îles et de canaux aux eaux tourbillonnantes, traversés de courants dangereux, empruntés pourtant depuis des temps immémoriaux. Ici s’est épanouie la culture du canoë des peuples autochtones, avec leurs fabuleux masques peints, leur iconographie complexe, leurs histoires de dieux sous-marins aussi néfastes que retors.
par
Revue australe et polaire n° 85
La Revue australe et polaire de juillet 2019 demeure toujours aussi riche. Avec ses 72 pages, elle sera le compagnon de nos vacances. On pourra lire le sommaire très complet dans la suite de cet article.
On rappelle que l’Amicale des missions australes et polaires françaises qui publie cette revue n’est pas uniquement réservée aux anciens des TAAF. Elle est ouverte à tous les passionnés des régions polaires en tant que membres associés. On peut devenir membre en allant sur le site de l’AMAEPF qui est disponible sur les onglets supérieurs de notre site ou sur le lien suivant : AMAEPF. Sa cotisation donne droit à une réduction d’impôts.
par
Polar Post n° 261
par
L’exploration des territoires glacés, Arctique,
L’exploration des territoires glacés, Arctique, Antarctique, a encore fasciné de nos temps l’homme avide de découvrir des territoires encore vierges. La rudesse de l’environnement a mis à l’épreuve la ténacité et le courage de ces aventuriers et favorisé les situations les plus improbables, celle de Claude Lorius humant l’air emprisonné dans des glaçons datant de 50 000 ans. Des bactéries de l’extrême peuvent vivre à 2 °C dans des lacs d’eau liquide, en présence de forte concentration en sel (200 g/litre) et sous forte pression (300 atmosphères).
par
Exposition « Arctic Blues »
Une exposition à Brest à l’Atelier des Capucins du 15 juin au 22 septembre 2019.
De retour de missions en Antarctique, des biologistes brestois ressentirent un désir autant qu’une impuissance : comment parvenir à raconter leurs émotions devant la beauté des pôles et la certitude de la catastrophe, dans un contexte de recherche scientifique recherche ?